A la recherche de la deuxième fleur
Pour l'instant, Tonneins n'a qu'une fleur.
[Important : voir les critères d'appréciation du jury des villes et villages fleuris
Ils ne sont pas bêtes du tout, et vont bien au delà de la pose de méga-potiches ou de suspensions en centre-ville.
Exemples :
"Le ramassage des papiers et autres déchets ne doit pas se limiter
au centre-ville.", "Maîtrise de l'affichage publicitaire", "entrée de ville soignée", "l’aménagement
en pleine terre sera privilégié", "les municipalités doivent savoir valoriser leur patrimoine ancien ou moderne, et inciter, par des mesures d’accompagnement, leurs concitoyens à entretenir leurs habitations", "jardins familiaux"...]
La débauche de fleurs en suspension (ou non), supposée porteuse de la deuxième fleur, n'a guère atteint le vieux Tonneins, sauf le kiosque du belvédère, qui n'en a peut-être pas besoin.
On ne s'étendra pas sur le carrefour de la rue de la Serrurerie et de la rue Courteline qui a déjà été évoqué ici pour son dépotoir récurrent : ce serait sans doute du gaspillage de mettre des fleurs à côté.
A l'autre bout du vieux Tonneins, l'intéressant escalier de Lescure n'a pas été totalement oublié :
Des "cannas" et des iris. C'est un peu chiche. Pourquoi cette timidité dans une des (potentiellement) plus belles descentes sur Garonne ?
Vu du haut, ça donne quand même ça !
En haut du même escalier, heureusement, l'initiative privée a pris la relève :
Dommage qu'une gouttière viole le renfoncement d'angle (comment ça s'appelle, et à quoi ça servait autrefois ?), mais ce n'est pas toujours facile de modifier l'écoulement des eaux, et de toute façon, ça fait plaisir de voir une façade bichonnée !